En semaine, l'interne fait donc sa journée dans son service de 9 heures à 18 heures, et doit ensuite descendre aux urgences pour sa nuit de garde. Le lendemain matin, il a à son compteur vingt-quatre heures de travail dans les jambes. Un fonctionnement dangereux, d'autant plus pour une discipline qui préconise aux patients l'importance d'une bonne hygiène de vie avec des temps de repos nécessaires, un sommeil régulier, etc.