A l'origine, j'avais prévu de shooter un poulet d'avril. La veille de la prise de vue, j'appelle ma grand-mère afin d'être sûr que rien n'arriverait à ce poulet sans défense que j'avais oublié chez elle.
"Tu ne le mange pas, on le garde pour demain…"
OUI OUI !
Me fit-elle avec son accent si touchant.
Le lendemain matin, ma grand-mère arrivait sur la prise de vue avec une moitié de poulet. C'était bien la première fois que le mannequin avait mangé le décor…
Le poulet d'avril, est devenu une côte de proc d'avril par la force de l'appétit.