« Peut-être pourrions-nous commencer par là ? Utiliser des références familières parce qu’elles nous parlent, mais ne pas s’approprier ce que nous ne connaissons pas intimement. Il est nécessaire de repenser les mots dont nous usons, en français, nous demander pourquoi nous en usons et ce qu’ils disent de nos rapports à l’autre. » (p. 54)