Sandrine Guihéneuf

J'ai bien aimé lire se livre, même si il ma pas donné envie de le lire au début. Mais sa peut aller. Plus on avance, plus on a envie de le lire. Il est assez court. Le livre est originale car il est composé de lettre et il est intéressent sur la globalité. Les personnages ne sont pas si attachant. On peut voir une évolution de leur amitié au court de l'histoire. Je ne m'attendais pas a une fin pareille mais je suis d’accord pour qu'elle se finisse comme ça.

J'ai apprécié la lecture de ce livre, qui se fini rapidement. La rédaction sous forme de lettre ma beaucoup plu. L'histoire est intéréssante, triste et réaliste pour son époque, malgré qu'elle soit fictive. Je me suis peu attaché au personnages, leurs actions et leurs réactions prouvent qu'ils n'étaient pas vraiment amis, ce qui m'a un peu déçue. La fin n'est pas innatendue, même si j'avais l'espoire qu'elle ne se finisse pas comme ça.

Un livre intéressant et rapide à lire. Il ne m'a pas donné envie de l'ouvrir au départ mais au final il est plutôt sympa.

Il nous permet d'avoir la vision d'un allemand et d'un juif lorsque Hitler a pris le pouvoir en Allemagne.

On remarque aussi le changement de caractère des allemands et leur état d'esprit.



[Comment 2 amis très proches arrivent à perdre contact à cause d'une seule personne. Comment quelqu'un peut devenir infidèle à son ami qui a été comme son frère.]



Au final, c'est une belle histoire d'amitié accompagnée d'une magnifique vengeance (je pense, bien méritée). Tout en restant dans les années 1932, lorsque Hitler a pris le pouvoir en Allemagne.

un livre qui ce lit très vite,j’ai vraiment bien aimé le

retournement de situation à la fin même si j’avoue je m’y attendais pas .. un livre que je vous conseille si vous voulez en apprendre + sur ce qu’il c’est passé durant la seconde guerre mondiale même si l’histoire n’est pas centré sur ça mais + sur une amitié ..

Ce livre est très intéressant il y a beaucoup d emotions

Ce tout petit livre (180 pages pleines d'illustrations) contient trois parties. [Éditions Autrement Littérature, 2018 (original 1938)

Préface de Philippe Claudel]

Tout d'abord une superbe nouvelle présentée sous la forme de lettres échangées entre 1932 et 1934 entre deux associés d'une galerie de peinture de San Francisco, tous deux d'origine allemande, mais dont l'un vient de quitter la Californie pour rentrer vivre à Munich tandis que l'autre, juif, reste aux USA. L'auteure qui a imaginé ces lettres, car c'est une femme, décrit avec une extraordinaire concision le terrible abîme qui s'ouvre entre les deux amis au fur et à mesure que Martin est phagocyté par l'idéologie nazie tandis que Max assiste terrifié (mais pas impuissant) depuis l'autre continent à la métamorphose de celui avec lequel il avait partagé une amitié désormais pourrissante.

Précédant ces lettres, comme il se doit, la préface de Philippe Claudel éclaire le tableau qui nous est offert. Comme pratiquement toujours, je n'ai lu la préface de ce livre qu'après en avoir atteint la dernière page et, comme son auteur, je partage l'impression d'actualité permanente de cette nouvelle : elle décrit l'impossibilité de comprendre la radicalisation aveuglée de personnes proches qui, rapidement et sous l'effet d'une pression à laquelle on pensait qu'ils auraient su résister, disparaissent de notre cercle en se vouant à une cause totalitaire. Elle illustre aussi la puissance de l'écrit qui peut devenir l'instrument d'un assassinat par procuration.

La dernière partie du livre raconte l'histoire du livre, l'écho qu'il a reçu lors de sa parution, sa longue période de discrète rémanence et sa nouvelle émergence par la réédition de l'opuscule et son adaptation au théâtre. Elle laisse entendre la permanence du caractère universel et intemporel de l'analyse proposée.

Nous sommes tous, peu ou prou, des Martin et des Max.