Comment les Iraniens peuvent-ils réciter par cœur Omar Khayyâm- dont toute l’œuvre est une invitation à l’ivresse, à l’amour et au plaisir - et suivre les dogmes d’un islam intransigeant ? Comment peuvent-ils s’accommoder de valeurs si opposées à leur nature profonde ? Le mariage des contraires ne semble pas les gêner. Ce ne sont que des apparences qui s’opposent et qui passent...