Puisque les "situations humaines sont la nourriture des écrivains-artistes" et que ceux-ci s'alimentent maintenant de culture populaire, il y a une forme de dilution qui s'opère dans le procédé créatif. Cette dilution représente la mince frontière sur laquelle les nouvelles fictions se déploient, risquant de se nourrir d'un excès d'images préfictionnalisées, prémâchées.