Et puis il y a l’attitude de la population. Les militaires meurent dans un silence effrayant. En opex, tu te tapes des conditions de vie très pénibles, tu es loin de ta famille, de ton pays. Tu manges mal […]. Si tu reviens traumatisé d’un conflit, tu passes pour un taré, au mieux pour un faible. Les gens, ils acceptent que tu rentres démoli, mais ils veulent pas que tu les emmerdes avec ça.