J’ai appris par la suite que changer de prénom relevait du droit au bonheur de chaque citoyen et était donc accordé dans la majorité des cas, tant que cela ne servait pas à camoufler des actes frauduleux ou criminels. Seules 10 % des demandes étaient déboutées. Il n’y avait donc aucune raison que Gyeonga la chanceuse ne fasse pas partie des 90 % restants.