M. : Durant les premiers séjours à l'étranger j'ai compris que je n'avais jamais existé. Que je n'existais qu'à la maison, par le biais d'inconnus, d'administrations qui me confirmaient, par le biais de coups de téléphone et de courriers, qu'il devait au moins exister une personne portant un nom qui m'était très familier.