Ce roman a le mérite d'exposer la vie d'une région qui n'est pas si souvent décrite et ce dans un contexte historique intéressant. Mais, par souci de vérité, la narratrice, archéologue et professeur, en rajoute beaucoup trop et l'on se perd dans des digressions et des rappels historiques fatigants. Certes, l'intrigue est attrayante, mais le récit tire en longueur et c'est pénible.
N'est pas Ken Follet qui veut !
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J'ai critiqué le premier roman de Sidonie Bochaton, "Le prieur de Meillerie" et je n'ai pas mieux à dire de la suite qui pèche par les mêmes défauts : longueurs, digressions nombreuses et cours d'histoire. On s'attend à mieux quand on retrouve les personnages apparus dans le premier et on regrette que l'intrigue n'avance pas plus vite. Encore une fois, le roman historique peut se permettre d'échapper à la vérité pour distraire et tenir en haleine plutôt qu'enseigner.
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