Alors que centaines de militants sont exécutées, les gouvernements de France et d’Iran continuent d’avoir des bonnes relations. Si les salariés français et européens, par exemple, arrêtaient de charger et de décharger les bateaux commerçant avec l’Iran, je suis sûr que le patronat iranien chercherait à négocier l’arrêt de ce mouvement contre la liberté pour les travailleurs iraniens de créer des organisations syndicales