A travers cette parole libérée puisqu’elle ne subissait plus l’inhibition de la présence des hommes, nous avions enfin la possibilité de réfléchir en commun sur l’affectivité, le rapport au corps, au travail, en prenant conscience de ce que nous désirions et que nous voulions, et en élaborant des stratégies communes pour y parvenir