Les jours, les mois et les années continueront de passer.
Mais la douleur d'un parent reste intact au premier jour.
Ce déchirement et cette injustice.
Cette absence et ce besoin.
Tout devient invivable.
Ceci n'est plus de la fiction, mais belle et bien une réalité...
Lorsqu'on perd son enfant, on ne vit plus.
On survit à son absence.