Les arbres en bourgeons n'attendent pas notre bon vouloir, d'ici s'entend un chant puissant menant la polka des fleurs et des feuilles et, au bord de l'extrême, un soupir hanté par l'inaccompli crée un échange surabondant entre un filet de vie chargé d'un pollen propice aux renaissances.
Le sacre du printemps et ses orgies colorées et odorantes deviennent plus que troublants.