Il détestait la première neige, la première brise tiède du printemps, les couleurs de l’automne. Tous les symboles du changement.
Toute sa vie se déployait en équilibre instable entre ce qui est normalement admis et ce qui est interdit. Il suffisait du moindre changement, du déséquilibre le plus minime, pour faire sombrer Sampson dans le néant.