Le hasard seul m’a calé dans le sillage de Josepha, une brune aux cheveux raides qu’on pourrait qualifier, sans exagérer de bombe atomique. Il a même fallu que j’appuie très fort les paumes de mes mains sur mes yeux pour les empêcher de jaillir de mes orbites. Ses mensurations devaient servir d’étalon aux agences de mannequins. Finement, j’ai attendu qu’elle m’adresse la parole.
J’ai attendu.
J’attends encore.