Je pressentais que ma sensibilité exacerbée me donnait une empathie particulière pour tous ces jeunes. J’étais fascinée par leur vie et les adultes qu’ils devenaient. Je me disais que les aider serait mon métier. À la fois, je pense que cela m’a aidée car ça me sortait de moi-même, et en même temps, c’était problématique car je voulais sauver tout le monde, ce qui n’était pas à ma hauteur.