Plutôt que de répondre à son signe de solidarité, elle se tourna vers lui. Ses prunelles baignaient dans des larmes trop timides ou orgueilleuses pour se laisser aller, mais Marois voyait à son regard que cette femme ne se laisserait pas noyer par le chagrin.
Qu’ils le veuillent ou non, ils étaient à présent liés par le destin de leurs enfants.