J’aime que le roman me donne le droit de m’étendre, de prendre toute la place qu’il me faut. Mais j’aime beaucoup aussi l’effet de surprise de la nouvelle – un shooter de ton alcool le plus fort, qui passe dans le gosier à la vitesse de ta plus vile pensée. Puisque je déteste choisir entre deux options, j’ai tranché à mi-chemin entre les deux genres – j’ai opté pour la novella qui, par définition, est plus courte que le roman et plus longue que la nouvelle.