Elles nous rattrapent en deux secondes et se mettent à nous bombarder avec des pommes. Papy reste stoïque sous l’avalanche. On remonte les vitres pour se protéger. Dommage, parce qu’on n’a pas vu de pommes depuis un an et qu’à présent, il en pleut. Incroyable que des gens puissent priver d’autres gens de pommes.