L’un des terrains de confrontation les plus sensibles entre laďcs et clercs fut la question des programmes scolaires. Tandis que les premiers prônaient l’adoption urgente de programmes séculiers afin de préparer le mieux possible la nouvelle génération au monde moderne, mais aussi d’encourager les sentiments nationalistes au sein de leur communauté, les seconds se battaient pour préserver le fondement religieux de l’enseignement.