Le premier effort du gouvernement nigérian pour ficher tous les citoyens grâce à des implants d'identification entraîna un véritable désastre : les membres du groupe pilote furent empoisonnés par des puces toxiques, contenant des métaux lourds, qui les rendirent fous avant de les tuer. Pas tous, bien sûr, mais environ soixante-dix pour cent (...). Maintenant, le [programme d'identification] est bien rodé ; dès sa naissance, chaque citoyen reçoit un implant. À l'âge de dix ans et de dix-neuf ans, la puce est repositionnée.