- Si vous saviez qu’il mourrait ici, pourquoi l’avez-vous laissé venir ?
- Parce que c’est le moment, le moment entre tous, celui où il se sent le plus vivant. On est davantage vivant quand on accepte sa mort […] Il a accueilli la sienne que le guerrier qu’il était. Nul n’a le droit de lui retirer ça, même par amour. Par ailleurs, le temps est peut-être sphérique, mais il n’est pas mutable. Si c’est arrivé, c’est arrivé. Tout le reste, ce sont des histoires idiotes pour les enfants.