Poésies sans titre
II
« Oh ! rien ne serait plus triste que cet évènement ! »
À l’heure oisive où je rêvais, j’ai dit ces mots,
soudain sans trop réfléchir.
Je les ai dit, ces grands mots…
J’ai essayé de rappeler dans mes souvenirs ces
choses tristes et angoissantes…
Rien ! le bâillement !
Puis, entre temps, je songeais : « Je dois me tuer. »
Je pensais : « Mourir, c’est la seule solution qui
me reste… »