Comme Staline le dit un jour avec un sourire désarmant, "choisir sa victime, préparer le coup avec soin, appliquer une vengeance implacable et ensuite aller se coucher... Il n'y a rien de plus doux au monde"*. C'est le plaisir raffiné d'une très haute sensibilité.
p.183
*Boris Souvarine, Stalin, New York, 1939.