AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Théo von Blankensee (8)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées
L'énigme du tapis vert - Le Vol de la bague

Une curiosité qui intriguera ceux qui regrettent qu'il n'y ai pas plus de romans faisant intervenir le fameux détective... des auteurs ont crées une série de 17 livres dont 16 ont effectivement été publier... et RBA nous en présente 3 édité d'ans une copie des Conan Doyle édités au Stand Magazine qui sont plus belles que les couvertures d'origine des aventures écrites par les deux écrivains alemands ... Voir à l'adresse suivante pour plus d'information : https://www.arthur-conan-doyle.com/index.php?title=Les_Dossiers_Secrets_de_Sherlock_Holmes

Si effectivement l'intrigue ressemble à celles qu'écrit Conan Doyle, par contre, un Sherlock Holmes s'inscrivant dans un grand hôtel sous un faux nom, n'est pourtant pas dans ses habitudes... mais pourquoi pas... parcontre, on ne reconnait pas sa psychologie si particulière ni sa façon de s'exprimer... elle ressemble plus à un language d'un Arsène Lupin... sa gouvernante n'est pas Mme Hudson, c'est une autre... et Watson est totalement absent... c'est ce qui fait que l'on est conquit, surtout qu'il y a quelques détails sur l'énigme, nootamment quand on trouve le corps... qui pourrait se trouverdans un livre de Conan Doyle ou un Agatha Christie...

Dans le premier chapitre, les trois télégrames nous font sourire, car ils créent la même atmosphère que le premier épisode de la série Sherlock : une Etude en Roose, lorsque et bien oui, le fameux détective envoi plusieurs sms pour faire venir Watson qui discute avec un énigmatique personnage inquétant, dont si vous regardez la série... vous saurez qui sait....

Un lors, inquiet pour sa vie car il y a plusieurs tentatives, quitte Londres sur le conseil de Holmes... mais ce qu'on trouve bizard, c'est que craignant pour sa vie... il aille à Monté- Carlo... encre plus bisare, malgré que Holmes lui demande de prendre un faux nom, il n'a pas l'air de le faire... tout le onde connait son identité... D'ailleurs Holmes prend un faux nom, arrive avec quelqu'un tantot présenté comme un ami tanto comme un employé... mais rassurez vous, il habite toujours Baker Street... Et le lecteur a du mal à croire à la culpabilité d'un employé d'hôtel, car oui il n'aurait pas pu faire des tentatives à Londre... un homme honête cedant à se point à des pulsions de vol, même pour une forte somme... en viens à tuer... bisarre... Sans doute est ce fait exprès... car une autre personne apparait qui semble une coupable ambigue... mais sur qui plane le doute... entre une femme et un homme mystérieux, on hésite...

Si toute fois le pastiche est imparfait... On ne reconnait pas la psychologie de SHerlock.. si incroyable fine sous la plume de Sir Arthur, très modernisé et plus associale parce quu'avec des qualités moins apréccié dans le monde d'aujourd'hui, et bien oui... on se laisse séduire... et j'ai bien cruu que je n'en aurait pas un exemplaire... j'ai même pu avoir l'exemplaire du suivant : La fille de l''Usurier... toujours par les mêmes auteurs et dans moins d'une semaine, encore un livre par les mêmes auteurs : La Veuve Rouge... que j'espère avoir... mais si franchement, je préfère les oeuvres d'orgine... mais Holmes a tellement marqué son époque, qu'il a dès le livre qui l'a fait disparaître, le problème final, a succité pas mal de pastiches chez des auteurs anglais, américains, français et allemands... Il serait domage de ne pas si interressez un peu pour voir si on y retrouve autant de finesse psychologique....
Commenter  J’apprécie          101
Les dentelles de la Reine - Le fiancé disparu

Encore un pastiche allemand du fameux détective... et si quelques détails nous le rappellent : un grand nombre de déduction d'une trace de maquillage ou bien d'un ticket observé et ramassé en moins de deux... on ne reonnait quand même pas la psychologie du détective... qui se pame devant la beauté des femmes au lieux d'y être insensible, l'original est plus atiré par l'intelligence des femmes, et leur capacité de réaction et de dissimulation... qu'à leur charme... car pouur lui, le mariage pour quelqu'un qui travail avec méthode et soin, y consacrant tout son temps le mariage est une perte de temps... mais pour les autres... on ne sait pas... il n'est pas si évident que cela que le personnage de Conan Doyle ne conçoivent pas le mariage, et s'il conçoit l'amour comme une faiblesse utilisable pour obtenir des renseignements d'une bonne, et qu'un détective ne peeut se permettre... on n''en sait pas vraiment les limites... mais il ne s'amourache pas de la première beauté qui passe... c'est une évidence...

Une autre chose qui ne cadre pas... un Holmes ne commettrait pas autant ces actions... et s'il se serait san doute mële de l'affaire des Dentelles de la Reine... il aurait mis quelques objections... quand à ce que des fantôme y fussent mëler ( lire le Chien des Baskkervilles) ... et il ne montre pas autant de sentiment que ce pastiche là quand il découuvre un crime... il a bien plus de retenu... sans doute parce que britanique... et ne se mêle pas de mésaliance... là la psychologie de Holmes n'a pas été suffisamment respecté... on ne lui connait pas ce ton si paternaliste avec des mon petit... même s'il peut se montrer tour à tour hautain, ou bien rassurent quand vraiment l'épreuve est importante...

Cependant l'intrigue est agréable... même si on ne voit pas non plus un Holmes se déplacer avant de savoir de quoi il s'agit, parfois il ne se déplace même pas pour commencer à enquêter, du moins en apparence, il attend le bon moment et / ou une information pour le conforté dans ses déductions... a moins qu'il ne fasse croire qu'il soit rester chez lui... D'ailleur, la série SHerlock dans un Scandale en Bohème le montre regardant une scène de crime de chez lui pour savoir si cela en vaux la peine... et il est emmené de force alors qu'on ne lui a pas dit qui veux l'embauché... et oui... c'est un consultant... donc on vient d'abord le consulter... lui exposer les faits... et Holmes tout comme lle Sherlock de la série... ne choisie que l'affaire qui faira fonctionner soon cerveau, une intrigue à sa mesure... mais peut importe la gravité de l'affaire..; ce qui importe c'est le castse-tête intellectuel de l'affaire... donc oui... on ne le reconnait qu'un peu dans ce pastiche... qui se veux sérieux... le début de la deuxième nouvelle sonne plus juste... une jeune femme eçoit deux message contradictoire de son fiancé, et vient demandé conseil, ne sachant que penser... mais les enquêtes soont interessante... et même si la copie ne vaux pas le modèle... et que l'on regrette la présence de Watson... alors que dans la série Sherlock un cours remplacement de Watson par Molly nous amuse, là non on ne gagne pas au change Harry à la place de Watson... c'est surtout pour l'intrigue que l'on va lire... une littérature d'ailleurs qui sans plus le ton d'Arsène Lupin... mais sans les pieds de nez d'Arsène dans la presse, ou devant un membre de la force public... Merci quand même à RBA... car on s'amuse de touver les différences... et après tout, quand on lit un polar c'est avant tout pour l'intrigue.... Et la couuverture orange foncé copie amélioré d'une image colorée des éditions du Strand Magazin aide vraiment à se mettre dans l'ambiance... c'est là que l'on voit que le travail de présentation effectuée par les éditeurs... est bien utile... et visiblement il y a de plus en plus de choix pour faire du vintage pas cher... cela commence à se voir aussi dans une édition appelé Editions du trésor qui a mélangé sobriété et teintes en dégradé de brun et de gris pour nous montrer une scène de tribunal.... avec le titre qui ressort en doré et en blanc... du faux vintage qui fait moderne...
Commenter  J’apprécie          80
La fille de l'usurier - Le médaillon à tête de mort

Erreur quand j'ai rentré les informations... un Bug a noté l'illuustrateur comme auteur, et enlevé le traducteur et les deux auteurs... Je n'arrive pas à changer...



Et comme dans l'Engime au tapis vert, ou SHerlock Holmes, parlant de gredin et de faire payé celui qui a commis l'assassinat, ressemble plus un Lupin qu'un SHerlock Holmes... ici il n'est pas non plus le Sherlock Holmes de Conan Doyle... qui, s'il est théâtral, ne l'est qu'en privé et pas dans un tribunal... en général... Holmes n'est pas dans les procès... Mais dire que les auteurs allemand ont tord de montré cet aspect serait une erreur... car, par la série Les rivaux de SHerlock Holmes, montrant bon nombre d'adaptation de livre de cette époque, et bien oui, de Missing QC, à l'hiistoire du détective aveugle enlevé, et bien oui... dans la littératuree anglaise on fait intervenir les tribunaux... mais si on sait à lire Conan Doyle... qu''on n'y voit mal même un SHerlock, sauf malgré lui... la série le montre, ce n'est pas trop sa place... et Holmes dans les livres, à deux reprises... s'arrange pour que l'affaire n'aille pas jusqu'au tribunaux... il ne veux pas ruiner une vie pour une vengeance coompréhensible, et une autre fois... condannée un hommé qui se repend d'avoir eut l'occasion d'un vole... Sir Arthur Conan Doyle, bien avant la série Sherlock, montre un détective plus à l'aise avec la force public... mais pas avec les tribunaux... aussi on sent plus un Poireau dans cette histoire... et pourtant... même si le personnage n'est pas tout à fait conforme à l'original... et bien oui... on se laisse porter par la lectue de se polar, de qualité... même s'il ne reflète pas l'originalité des Sherrlock Holmes, ou tout commence touujorus au 221 Baker Street ( sauf les rares histoires, ou il est obligé au repot, ou en retraite... ou du temps du collège invité en vaccance chez le père d'un cammarade...) il est bien rare que cela ne commence pas au 221 B... et inexistant que l'affaire ne soit pas racconté par Watson ou plus rarement HOlmes et ne débute pas sur les paroles du client lui-même... Cette série d'histoire, pastiche des récits de COnan Doyle, sont souvent naré par on ne sait qui... et ne démare par forcément par un client acostant le héros... Et l'on suit... cela prolonge le persoonnage...

J'avoue que je prend du plaisir dans ces pastiches, même si je ne retrouve pas la psychologie du personnage principal... qui fait intrusion dans un procès pour dire cet homme est inocent... Non Holmes n'agit pas comme cela... Et pouurtant, cette histoire de fille d'un horrible usurier détesté de tous, une fille n'ayant rien à se reprocher... même pas ce que fait son père... pouurrait bien être le type de victime que défendrait un SHerrlock Holmes... et donc, gracce au éditions RBA... je continue ma découverte de quelques pastiches, sous la coonverture du strand magazine... que je préfère à l'édition original illustrée... étendre un peu la courte série ( 15 recueils et roman) à quelques copies du persoonnage, RBA a eut une bonne idée...

Et pour ceux qui vouddraient plus de renseignement sur la série des pastiches alleamnds, voici une adresse, que j'avais déjà mise pour l'Enigme au Tapis vert : https://www.arthur-conan-doyle.com/index.php?title=Les_Dossiers_Secrets_de_Sherlock_Holmes
Lien : https://www.arthur-conan-doy..
Commenter  J’apprécie          80
La prisonnière du Clocher et autre histoire

Encore une fois le pastiche allemand ne convainct pas... un Sherlock Holmes excentrique en compagnie d'un curieux compagnion;.. je l'aisse la surprise aux lecteurs... Si Sherlock Holmes est excentrique... c'est à la manière du savant qui pour amliorer ses capacités... va négliger sa vie personnel, et va utilisé expériences et démarche qui au premier abord parraissent en dehors de sentier batue... et non pas parce quu'il veux se faire remarquer, et en plus i donne toujorus des ordres à la police... un autre détail... on aurait avoir un brin d'explication sur pourquoi il déduit qu'une tête a été prééparée deux jours au paravant... est ce une lubie d'auteur, ou bien basé sur la science... on ne sait pas... Hole dans ce pastiche, se retrouve confronté au Napoléon des assassins... eet oui... après le Napoléon du Crime, le Napoléon des assassins... on essait de faire revivre un couple Sherlock et Moréarty et cela sonne mal... dans la grce dominé par les Turcs ou les Maccédoniers et les Albanais... font des siennes... plus un context pour un Hercule Poirot... Même si Sherlock Holmes s ' est absenté pendant deux ans... Non ce Sherlockk Holmes ne fait pas illusion surtout quand ils donne des ordres à la police d'un pays étranger... Cependant l'intrigue est intéressante mêlant Turc s qui occupent et opressent des Grecs, avec des truants Macédoniens et Albanais... qui embrasent la cause grecque pour mieux truicidés tout le monde... le départ est habile qui commence avec un cavalier qui juge mal la résistance de son cheval... sans doute parce que pas le sien( un vrai cavalier ayant son propre équidé sait juger cela... on apprendra par la suite qu'il est à la poursuite d'une femme, et arrive dans un village où curé a été assassiné! et bien sur d'autres déccouvertes macabre vont suivre une intrigue interressante, même si on aurait aimé plus de recherche.... et de détail... et un Holmes un peu plus réaliste... même quand il n'et pas déguisés, personne le reconnait... alors que d'habituude c'est plutot l'inverse... Donc à lire pour la détente du bon petit polar mais pas du grand polar bien que l'a couverture du Strand, amélioré par RBA nous atire.... énormément....
Commenter  J’apprécie          60
Un médecin assassin - Une nuit de terreur

Je continue de lire les pastiches allemands qu'éditent les éditions RBA, à la suite des véritables romans de Conan Doyle sous une magnifique coopie améliorée de l'édition d'origine du Strand Magazine... et comme d'habitude, il n'y a pas la pate du Britanique... mais si les deux nouvelles se laissent lire...

Le début commence bien, un sous marin disparu dans la Tamise... des hommes qui disparaissent sur les quai... Mais le Sherlock Holmes de cette version, comme d'habitude est trops émotif, s'explique tout le temps, on le voit bien, ce n''est pas le personnage de Conan Doyle, qui donne des instructions que l'on doit suivre à la lettre... mais tais les pourquoi et les comments, pour deux raisons, d'abord il veux être sûr d'avoir raison avant de s'expliquer... et en plus veux que les victimes et son Watson... agissent de façon à ce que les criminels, voir les simples suspects (pas toujours criminel, même si c'est rares) ne se doute de rien...

Et là au lieu d'avoir un personnage dont on se demande si c'est Holmes, comme parfoois on se demande si c'est un LUpin.... le lecteur la au bout de deux phrases max c'est que c'est Sherlock déguisé... et bien c'est dommage... la série avec Jérémy Brett arrive à montré un Sherlock qu'on ne reconnait pas... même si ce tour de force n'a pas été complètement réalisé par un Georges Descrière qui campe pourtant un bon Arsène... cela compense un peu...

Ici cela coupe vraiment bien des effets pour le lecteur... Conan Doyle est bien plus fin... cependant si on ne connait pas vraiment chez le père du personnage, la réaction de Mme Hudson face aux frasques et aux excentrier de Holmes, la nous avons une Mme Bonnet ( qui remplace Mme Hudson) qui s'offusque de ses déguisements, qui ressemble plus à la madame Hudson de la série SHerlock... sans doute une inspiration de ceux qui ont écrit la série... est peut être là.... vd'antant plus que dans l'épisode l'efforyable marié... la madame Hudson d'un passé rêvé par un Sherlock sous drogue... reproche au Dr Watson de n'être dans ses livres là que pour ouvrir la porte et servir le thé;... un épisode qui donne peut être la réponse du monque de révolte de la par de Mme Hudson dans les originaux puisqu'il parle des sufragettes ( d'ailleurs voir l'excellent film proche de la réalité, ce qui est confirmé par les documentaires sur le sujet : Sufragettes avec Merril Streep, que l'on voit assez peu, car elle joue la principale meneuse du mouvement qui se cacche tout le temps)... alors oui... si Madame Hudson bien que veuve s'exprime peu, c'est bien qu'elle est veuve dans une Angleterre Victorienne où les femmes n'oont pas le droit de s'exprimer, sont nourris violemment de force si elles font des grèves de la faim, sont sans arrêt harcelées sexuellement au travail si elles travaillent dans une blanchisserie ou si elles sont ouvrières... n'ont aucun droit sur leurs enfants que leur mari peut lui enlever sans donner d'explication...Madame Hudsonne n'est pas une Française, qui doit obéir à son mari... mais n'est quand même pas traité par la lois comme un vulgaire meuble... On ne voit pas non plus la police envahir sans mandat un bâteau... car le mandat se fait attendre dans les nouvelles originelles ( L'interprète grec, et la disparition de Lady Carfax).... Donc un polar sympathique, mais pas dugrand polar cependant.... avec une disparition de sous marin qui fait pensé à un film, dont l'hiistoire n'est pas de Conan Doyle, mais ou il y a des allusions aux originaux : La vie Privée de Sherlok Holmes, une satyre interressant de Billy Wilder, où le détective est très nettement moins brillant... une satyre qui traite avec humour les faiblesses du détective... et d'une chose qui n'est pas dans les livres de Conan Doyle, mais dans la série Sherlokk : les fameux cancans sur sa relation avec Watson)...

Dans une nuit de terreur, on retrouve un peu la relation Watson / Holmes car Harry Dixson reproche au début de la nouvelle à Holmes de n'avoir pas soigner une blessure ( ce que n'aurait pas fait le détective originel) ce qui rappelle un Watson qui à plusieurs reprises reproche à Holmes de ne pas prendre le temps de se reposé... et lui reproche sa drogue... oui ien s'exaspère en silence... en voyant la seringue qui traine... des choses intérressante donc, même si ce n'est pas fidèle à l''originale....
Commenter  J’apprécie          60
La maîtresse de l'Attorney général - Océane la re..

Cela commence par la description d'une scène de Crime où le fameux détective ne trouve aucun indice... et pourtant le turueur à bien du passer par une entrée... rien rien de rien... Mais ce n'est pas que dans ce pastiche que Holmes ne trouve rien...non Conan Doyle traite aussi ce sujet dans l'Entrepreneur de Norwood, il faut inocenter son client... et ce n'est que l''ajout d'un indice... qui n'était pas là au départ... qui va le mettre sur la piste... alors oui, dans ce pastiche, on croit enfin reconnaitre notre Sherlock Holmes qui tient enfin une petite piste mais préfère vérifié... et le Dr Watson manque... même si une femme, riche héritière du couple assassiné, a un terrible secret... et oui... la l'intrigue pourrait être pas mal... mais hélas... il y a deux amoureux transis qui se lamentent... c'est dommage... la couverture du Strand ( d'ailleurs vue dans la série Sherlock où Holmes rêve de son homonymes du passé... avec des références discrètes à plusieurs livres : l'étude en rouge, le chien des Baskerville, les cinq pépin d'orange, et même les hommes dansant dans lequel une épouse à un terrible secret... cela fait écho à cette nourvelle un peu théâtrale... fait plus pour le théâtre que pour la nouvelle... mais aussi à l'effroyable marié, le dixième épisode de la série Sherlock... très féministe... où l'on voit une Molly au XIX e obligé de se travestir en homme pour pourvoir travailler... ce qui n'arrange pas la nouvelle, je ne sais si c'est une erreur de traductioon;.. on fournit à Holmes une torche électrique... et non... ce n'est pas un objet aussi moderne dont s'équippe le détective... pour voir la nuit... et en plus lui qui se moque du mariage... cela gâche les talents... voilà qui un bref moment joue les entremeteur... noon décidemment le persoonnage mal compris des auteurs... fait que le texte se perd dans le grandiloquant...et dans la deuxième nouuvelle nouus rentrerons dans le milieu des clib d'aristocrate londonien et des artistes...
Commenter  J’apprécie          60
Blackwell le Pirate de la Tamise - Le trésor ..

RBA continue à nous offrir dans une magnifique copie des éditions originale du Strand Magazine (originaux de Conan Doyle) des pastiches allemand... visiblement, ils ont envie de nous passer les 17 histoires... en tout cas cela continu...

Et cela commençait bien comme bien de ces pastiches allemands de Sherlock Holmes... on a faillit reconnaitre la psychologie... et pourtant il y a des efforts pour coller à Conan Doyle...

L'intrigue est bonne, et au début ressemble oui un peu à ce qu'il aurait pu écrire... un homme dont on ne sait s'il est fou ou ivrogne, un détail qui parle des légumes pas parfais pour la vente, mais encore bon à la consomassion ( et oui... voir My Fair Lady où les fleurs laissées par les marchands proffessionnels sont laissées sur place eet ramassées par les filles de la rue pour en faire des bouquets et essayer de les vendre dans la rue... il y a des documentaires qui parlent aussi des fruits et légumes bon à manger mais avec un aspect pas très commerciale laissés au gens de la rue.) Oui il y a une bonne documentation sur le Londres de l'époque où a nouvelle est écrit... et si oui.. un Holmes apparait brutalement souus un déguisement, faisant sa propre justice... ou le reconnait mais on est bien vite déçu... même si les auteurs font intervenir un médecin légiste pour confirmer les conclusions de Holmes, absence du Dr Watson oblige...

D'aboord c'est aggaçant... tout le monde l'appele maître... alors qu'il n'a à l'origine aucune reconnaissance officiel... si certains détectives l'apprécis (mais pas tous) quand ils lui demandent de l'aide, ce n'est jamais officiel;.. et là lla Série Sherlock a mieux compris le personnage que les auteurs allemands... surtout que dans la série il est arr^été quand un supérieur apprend le nombre considèrable d'enquête où il est intervenu... oui en cela la série est plus proche, tout en le replaçant dans un monde moderne que cette nouvelle... un monde moderne ou d'ailleurs sont obcession pour les enquetes criminelles agace... un trait moderne de notre fin de XXe début de XXIe siècle qui est repris dans la série Stike ( voi les roman sur COrmoran Strike) quand le mari de l'héroîne lui reproche de vivre en espionnant les gens dans ce qu'il y a de plus intime dans leur vie privée... elle vie de voyeurisme...

En plus, dans ce pastiche, comble du comble, on lui donne une plaque de policier officiel... à numéro avec des 0 et des 1, cela fait plus James Bond, que Sherlock Holmes.

Holmes que l'on connait ne s'exprimant toujours que peu durant l'affaire, on n'a pas vraiment son cheminement chez Conan Doyle, juste ces directives... et seulement à la fin de l'épisode... le cours résumé de ses déductions... Une femme se confie à lui.. et la on voix beaucoup démotivité de sa part... cela ne cadre pas... au contraire le personnage de Sherlock Holmes s'il se veut parfoi rassurant, réconfortant, face à une femme courageuse... par contre on le voit mal dans cette émotivité... encore une fois nous avons affaire à un autre détective... même si sa connaissance des cab londonien et le fait que curieusement il se lance un peu maladroitement au jeu que le détective britanique joue avec son ami Watson... mais là c'est avec une inconnu... pas un assistant qu'il connait bien... On le voit même si avec ce derniers point les auteurs essaient de se rattraper... cela ne sonne pas Sherlock... Domage, c'était bien tenté... cependant on se laisse porter par cette enquete dans les rue et sur les dock d'un Londres très crédible... le Holmes de la série Sherlock qui dit que sans doute son frère va encore pour la èieme fois li proposé d'être LOrd... ne cadre pas... Holmes fuit la publicité, et cela la série Sherlock l'a bien comprise... d'abord parce qu'un détective travaille mieux dans l'anonyma... surtout quand il se déguise régulièrement;.. et dans la série on voit un Holmes qui ne parvient pas à fuir un monde des médias aujourd'hui omniprésents partout... lle net emplifiant les choses il s'agasse... c'est mauvais pour sa couverture... en plus il ne s'attache qu'à ses résultats, sur des intrigues difficiles... et aux salaires que quelques riches personnes peuvent lui donné...( voir le paiement d'un duc pour son résultat pour lui avoir ramené son fils) paiement qu'il refuse du roi de Bohème... riche mais un peu pitoyable humainement... et la encore la série Sherlock... comprend mieux le personnage... il faut bien vivre;.. quand le Dr Watson dit qu'il a reefusé de l'espionner contre de l'argent, Cumberbatch dit : dommage vous auriez dû acepter on aurait partagé... Même s'il y a des différences ( une Mme Hudson avec un passé trouble, idem pour Mary Watson, un nouveau personage avec Molly, et une mésentente entre les deux frères...) et bien oui la série Sherlock a bien mieux cerner... et qu'est ce qu'on s'amuse finalement entre les écrits de Conan Doyle, a série avec Jeremy Brett, et la série avec Cumberbatch... à voir les différences;... AUtopsie d'un personnage de papier... pourtant si crédible si complexe que des rumeurs on couru sur lui ( encore souligné dans la bouche d'une journaliste... et pourtant ce n'est pas dans les romans... dans la vie bien des rumeurs ont couru sur le curieux couple de locataires... le détective et le médecin...)

Oui vraiment on s'amuse en le lisant... même si on ne voit pas Sherlock holmes comme cela quand on a lu tout ce que Conan Doyle a écrit sur lui... le mystère est là... mais pas vraiment Sherlock...
Commenter  J’apprécie          60
L'énigme du tapis vert - Le Vol de la bague

On s'en que ce livre n'a pas été écrit pas Arthur Conan Doyle. J'ai regretté qu'il n'y est pas Watson, je trouve que l'assistant de Sherlock Holmes n'a pas vraiment sa place dans cette histoire, il n'a pas la finesse de Watson et je n'ai pas aimé les illustrations qu'il y a dans ce livre.
Commenter  J’apprécie          00


Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Théo von Blankensee (8)Voir plus

Quiz Voir plus

Les plus grands classiques de la science-fiction

Qui a écrit 1984

George Orwell
Aldous Huxley
H.G. Wells
Pierre Boulle

10 questions
4920 lecteurs ont répondu
Thèmes : science-fictionCréer un quiz sur cet auteur

{* *}