Raskolnikov décide de tuer une vielle saleté d'usurière et sa sœur.
Mais ô surprise, le voilà rongé par la culpabilité et la paranoïa.
Pour se débarrasser de ses scrupules, il prend des vacances forcées dans une prison de Sibérie.
Où il découvre qu'il sait encore aimer. Waouh, un Dostoïevski qui finit bien !