On ne peut qu’être sur nos gardes, car on a lu trop d’articles sur le trafic de l’adoption. On sait aussi que le pire se drape parfois des meilleures intentions, et on est forcément tendu quand on visite un lieu où se joue le destin d’enfants que personne sur cette terre ne chérit, que personne ne borde le soir dans son lit.