Place de la Sorbonne est la revue internationale annuelle de poésie de l'université Paris-Sorbonne. C’est une revue de création mais aussi d’analyse, un organe spécifique de lecture de la poésie contemporaine, qui donne à lire un éventail riche et varié des poètes d’aujourd’hui, tant dans le monde qu’en France, sans inféodation à une esthétique particulière.
C’est en même temps un instrument de lecture de cette poésie, souvent d’accès difficile.
De là de nombreuses rubriques visant à éclairer la production poétique actuelle : « L’Invité » est une personnalité qui donne sa vision du fait poétique contemporain. « L’Entretien » a lieu avec un poète de premier plan ou un éditeur. « Contrepoints » reproduit des œuvres d’un plasticien. Dans « Vis-à-vis » sont commentés des textes d’un poète d’aujourd’hui. « Échos » donne la parole à un spécialiste de poésie. « De l’autre côté du miroir » rend hommage à des poètes disparus. La revue se clôt par de substantiels comptes rendus de livres récents.
PLS s’adresse à un public cultivé : enseignants, étudiants, mais aussi à toutes les personnes désirant découvrir ou mieux connaître la poésie actuelle.
Pour mieux la connaître, son site :
http://www.culture-sorbonne.fr/placedelasorbonne/
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Un recueil qui se veut être un des reflets de notre société actuelle. Retour à la brièveté à cause des nouveaux appareils qui nous distraient en permanence ; retour à un imaginaire collectif populaire qui fascine encore nos contemporains, malgré la crise ; retour à des couleurs qui inspirent le fait divers avec un design proche des années 70.
De nombreux contributeurs (écrivains ou artistes) apportent leur touche en s'appropriant un fait divers qui les a marqués. Fort de café, tendre comme une mer qui arrache un homme à la terre, la violence est partout mais est toujours conjuguée à un autre élément : la tendresse, l'humour ou encore la satire.
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Très intéressante étude sur le monde des feuillardiers, ces hommes des bois, ouvriers paysans qui façonnaient carassonne et piquets pour des grossistes. Actifs syndicalement, ils firent grève pour obtenir de meilleur tarifs.
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