— T’es un marrant, toi, tout de même. Tu as vraiment l’air de comprendre tout ce que je dis et ça fait vraiment du bien. Tu sais quoi, je vais remettre mon portable en route, peut-être que mes parents, James ou même Tan ont essayé de m’appeler. Je l’ai arrêté dans l’après-midi. Je n’avais pas envie que Tan me tanne pour le rejoindre.
Le loup souffla à nouveau. — Quoi ? Tu n’aimes pas mon jeu de mots… tu n’as aucun humour. C’est en riant que Keller écouta sa messagerie.