J'étais peut-être née princesse, mais ce mendiant, cet aveugle, qui était probablement né dans la pauvreté et avait sans doute beaucoup souffert, décelait assez de beauté dans l'existence pour vouloir continuer à vivre. Il méritait notre plus grand respect. Sa vie était aussi noble que la nôtre, que celle de tout un chacun, et nous étions tenu de reconnaître sa dignité.