On se sent tous coupables de quelque chose à un moment ou à un autre, avait murmuré Orazio. Vous voulez que je vous dise ? On n'est pas coupable de tout ce qui arrive. Le croire, c'est de l'orgueil. Il faut admettre qu'on ne peut pas tout contrôler, qu'on n'a pas prise sur ce qui, de toute façon, advient ! (p.272)