La colère constante des Black feminists, des féministes lesbiennes et des femmes de la classe ouvrière – pour n’en nommer que quelques-unes – à l’égard du mouvement des femmes témoigne du fait que ces différences n’ont pas été transcendées et ne le seront pas tant que le mouvement ne se dotera pas d’une forme de pensée ou d’apprentissage revenant continuellement à nos ressentis et à nos expériences – donc aux relations sociales que nous vivons et à nos réactions face à ces relations