Victor Roussel

« À peine ai-je pu entendre le doux murmure de l’Hoa Sen*. Le frémissement des pétales comme la naissance du monde... À peine ai-je pu sentir l’exil… Et du bout des mots, j’ai voulu toucher la légèreté de l’Hoa Sen. Comme lui, effleurer l’eau et le ciel. Dialoguant avec l’encre d’un pinceau, des lettres en morceaux racontent le retour d’un exilé sur les terres de son enfance. C’est dans la fragilité de ce voyage que le lecteur entendra la sincérité de nos murmures. »
* lotus en vietnamien

Victor Roussel