Les akyleurs soulevèrent les draps recouvrant les cages. Ces chauves-souris devinrent frénétiques, folles furieuses, aux lumières du champ de bataille. Les odeurs de sang, de chair brûlée, les poussaient à se jeter sur les barreaux, les mordre, les tordre. Leurs cris insupportables augmentaient leur soif de mort. Une fois libérés, des essaims affamés se formèrent. Leurs sons stridents pétrifiaient les édoriannais.