Haro! donc, sur nos ancêtres qui n'ont pas su voir le génie de Baudelaire.Mais après Vespuce il n'y a pas trop de mal à découvrir l'Amérique :que chacun conserve ses regrets et ses tendresses inassouvies pour le futur auteur des "Fleurs du mal" qui aujourd'hui , peut être nous côtoie , baye à la gloire , et crève de faim.