Chaque année, le printemps opère ses merveilles. Qui n'en subit l'émoi ? Aux touches encore discrètes d'avril succède la féerie sans égale de mai. Métaphore, dira-t-on ? Nullement, car cette image répond parfaitement à la réalité : la fleur, vivante parure, ne renferme-t-elle pas toutes les promesses de la fécondation ?