Non seulement mon mari était vivant, mais c’était lui le héros de toute cette histoire. Il avait risqué sa vie pour sauver un ami. Il ne m’avait jamais trompée, ce n’était ni un voleur, ni un menteur. Je voulais désespérément le croire, mais il fallait d’abord que je le touche, que je le tienne dans mes bras, que je le regarde au fond des yeux avant de réussir à croire un seul mot de ce qu’elle m’avait dit.