Que serait-il allé faire, aussi bien, dans un pays où le seul spectacle qui s'offrait à la vue, ou peu s'en fallait, était celui de grosses cylindrées inoxydables et valant des millions ? Et c'était peu dire que M. Faustini, en sa qualité de l'usager de l'autocar et du train , n'avait aucun faible pour les automobiles.