Reste son ego, ce subtil nombril, si démesuré chez tant de créateurs, hypertrophié de leur moi profond... Moussorgski avait heureusement fini par s'en débarrasser, préférant le noyer dans ce torrent d'alcool et dans ce flot de cognac qui finirent par les submerger entièrement, lui et sa musique. (p.25)