Après son départ pour Pékin, Chu Pingyang interrogea plusieurs célèbres professeurs de l’université de médecine et pharmacopée chinoises, qui tous n’y comprenaient rien. Ils se contentèrent de dire : piquer n’a jamais tué personne. Chu Trois-piqûres, à qui il raconta l’histoire, dit à son tour : pour eux, piquer n’a jamais tué