Les thèses qui suivent, éparses, se rejoignent sur un refus : celui de la pensée, tellement commune, mais morte, qui fait de la grève un moyen. Elles -chacune à leur manière, et des lieux divers d’où elles surgissent – contredisent ce dogme. Elles disent que la grève est la fin ; elles en chantent l’éloge