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Citation de Florel


Jean-Louis Harouel
De manière ubuesque, dans les nations européennes, notre système juridique des droits de l'homme, avec son obsession de la non-discrimination dont profitent abondamment les musulmans, prépare paradoxalement la domination d'un système juridico-divin fondé sur la discrimination, puisque que l'islam est par définition discriminatoire. Né de valeurs chrétiennes, encore que grandement falsifiées par la religion humanitaire [= religion des droits de l'homme car il y a eu en Europe un déplacement de croyance vers les Droits de l'homme], l'actuel principe de discrimination ne subsisterait pas en Europe si l'islam y dominait.
Car l'islam repose sur une triple discrimination inscrite de manière irrévocable dans le code de droit que contient la Charia : discrimination à l'encontre des non-musulmans, discrimination à l'encontre des femmes, discrimination produite par la légalité de l'esclavage.
L’islam tolère certes les juifs et les chrétiens, mais fait d'eux une population de seconde zone, les "dhimmis". Soumis institutionnellement à toute une série d'incapacités et d'humiliations, en principe protégés par les autorités contre la violences et vexations de la majorité musulmanes, ils furent en pratique souvent opprimés. Concernant l'islam conquérant d'aujourd'hui, l'historien du droit et théologien Jacques Ellul a observé qu'il ne reconnaît pas de droits humains aux non-musulmans. Si bien qu'une société islamisée les enfermerait à nouveau dans la même condition de "dhimmis". Dans le meilleur des cas, car l’islam ne reconnaît traditionnellement la plénitude humaine qu'aux musulmans.
L'infériorité de la femme résulte elle aussi de la Charia qui fait d'elle une éternelle mineur passant de la tutelle de sa famille à celle de son mari, lequel peut en outre à tout instant la répudier de manière unilatérale en vertu d'une décision discrétionnaire. S'ajoute à cela que, en matière pénale, le témoignage d’une femme ne vaut que la moitié de celui d'un homme.
Enfin les textes saints de l'islam cautionnent l’esclavage. SI bien que c'est en toute conformité avec la loi divine que l'on peut aujourd'hui, pour l'équivalent de quelques dizaines d'euros, acheter une esclave chrétienne ou yazidie sur les marchés d'esclave des territoire irakiens et syriens contrôlés par la puissante organisation politico-religieuse qui se désigne elle-même du non d'Etat Islamique.
Les discriminations inhérentes à l’islam sont sans commune mesure avec celles qui sont aujourd'hui si méticuleusement traquées au nom des droits de l'homme, et qui paraissent par comparaison infimes. Car non seulement l’islam refuse l'égalité civile et même pénale aux non-musulmans et aux femmes, mais encore il ignore cette forme minimale de l'égalité constituée par le caractère général de la condition d'homme libre au sein de la société
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