On peut raisonner d’abord de la façon suivante : puisqu’il est reconnu que les mobiles égoïstes sont prédominants dans la nature humaine et que, d’ailleurs, l’espèce humaine vit et subsiste, il faut admettre que les égoïsmes s’harmonisent d’eux-mêmes et produisent mécaniquement le bien de l’espèce.