Pour son service domestique, Jules Andrieux a des «popinées» comme on dit pour désigner les femmes d'ici, qui, comptées souvent pour rien et réduites parfois en esclavage dans leur tribu, ont fui, et dont l'une lui a donné une descendance. Et parce que cet original a reconnu un métis pour sa chair, la chose amuse, sous cape, des propriétaires terriens se demandent ce qui, de l'homme ou de l'animal, l'emportera.