Silence de mort, alors qu’il me détaille des pieds à la tête, totalement immobile. Il fronce les sourcils, ses traits se durcissent. Je ne sais pas où me mettre. J’ai juste envie de me jeter sous ce maudit fauteuil et de m’y terrer jusqu’à la fin de mes jours, voire du monde.
– Puis-je vous demander ce que vous faites dans ma chambre ? lance-t-il d’une voix froide. Vêtue, qui plus est, de ma propre chemise et de…
Il plisse les paupières, pendant que son regard descend le long de mon corps jusqu’à mes hanches.
– … mon caleçon ?