On s'imaginerait peut-être en ne lisant que le premier et le second livre de mon roman, que mon dessein n'est que d'offenser quelques particuliers, dont les actions peuvent avoir quelques rapports avec celles que je décris. Mais la suite et la fin feront voir le contraire, et que si en la vie des hommes et des femmes qu'on soupçonnerait que j'eusse voulu blâmer, il se trouve quelque chose de semblable dans les mœurs des personnes de mon roman, on y remarquera aussi tant d'autres circonstances différentes, qu'on y jugera bien qu'il n'y peut avoir aucune comparaison.