« Toute source nouvelle de laquelle l'homme a tiré un accroissement de son pouvoir sur la terre a été utilisée de manière à rétrécir les perspectives de ses descendants. L'homme a payé chacun de ses progrès d'une atteinte à son environnement, qu'il ne pouvait prévoir et qu'il n'est pas capable de réparer. »
Il n'est pas possible à quelques nations hautement industrialisées d'affronter encore longtemps le reste du monde en continuant à consommer et à polluer l'environnement comme elle le font. Un genre de vie où chacun n'utilise qu'une petite partie des ressources mondiales et mène pourtant une vie heureuse constituerait la meilleure garantie pour la paix dans le monde.
(1976)
La question fondamentale n’est pas de savoir si les machines pensent, mais si les hommes pensent.
"Nous ne devrions pas apprendre à lire les grands livres ; nous devrions enseigner l'amour de la lecture
La révolution industrielle détruisit l'habilité et la joie intellectuelle de l'homme dans son travail quotidien en l'aliénant au produit fini de son travail, dont le salaire en tant que renforçateur aménagé, n'était qu'un pauvre substitut.
Dans ce sens, nos joies, nos tristesses, nos amours, nos haines nous sont strictement personnelles. En d'autres termes, pour chacun une petite partie de l'univers est privée.