Nationalité : Suisse
Né(e) à : La Chaux-de-Fonds , le 8 février 1961
Né(e) à : La Chaux-de-Fonds , le 8 février 1961
Biographie :
André Kuhn, né en 1961 à La Chaux-de-Fonds, est marié et père de deux enfants.
Professionnellement, il est aujourd'hui Professeur de criminologie et de droit pénal aux Universités de Lausanne et de Neuchâtel. Sa formation de juriste, puis de criminologue lui a permis d'accéder à des postes aussi divers que juge d'instruction, directeur d'études scientifiques dans un institut de sondage, collaborateur scientifique à l'Office fédéral (suisse) de la justice, directeur d'un centre universitaire de formation continue et professeur d'université.
André Kuhn a également été expert scientifique auprès du Conseil de l'Europe dans le but d'élaborer une Recommandation aux États membres relative aux mesures pénales permettant de diminuer la population carcérale et expert auprès de l'Institute for Crime Prevention and Control (HEUNI) affilié à l'ONU pour l'analyse du Fifth United Nation Survey of Crime Trends and Operations of Criminal Justice Systems. Il est aujourd'hui rédacteur en chef de la Revue Internationale de Criminologie et de Police Technique et Scientifique, membre de la Commission fédérale des projets pilotes auprès de l'Office fédérale de la Justice, membre du groupe d'experts sur la statistique criminelle de l'Office fédéral de la statistique et expert scientifique auprès de l'Observatoire de la sécurité de la Ville de Lausanne. Par ailleurs, André Kuhn peut se prévaloir doublement de son titre de Dr. es crime, puisqu'il a eu l'occasion de participer à deux reprises à des Jeux Olympiques, à Séoul en 1988 et à Barcelone en 1992, en tant qu'épéiste.
+ Voir plusAndré Kuhn, né en 1961 à La Chaux-de-Fonds, est marié et père de deux enfants.
Professionnellement, il est aujourd'hui Professeur de criminologie et de droit pénal aux Universités de Lausanne et de Neuchâtel. Sa formation de juriste, puis de criminologue lui a permis d'accéder à des postes aussi divers que juge d'instruction, directeur d'études scientifiques dans un institut de sondage, collaborateur scientifique à l'Office fédéral (suisse) de la justice, directeur d'un centre universitaire de formation continue et professeur d'université.
André Kuhn a également été expert scientifique auprès du Conseil de l'Europe dans le but d'élaborer une Recommandation aux États membres relative aux mesures pénales permettant de diminuer la population carcérale et expert auprès de l'Institute for Crime Prevention and Control (HEUNI) affilié à l'ONU pour l'analyse du Fifth United Nation Survey of Crime Trends and Operations of Criminal Justice Systems. Il est aujourd'hui rédacteur en chef de la Revue Internationale de Criminologie et de Police Technique et Scientifique, membre de la Commission fédérale des projets pilotes auprès de l'Office fédérale de la Justice, membre du groupe d'experts sur la statistique criminelle de l'Office fédéral de la statistique et expert scientifique auprès de l'Observatoire de la sécurité de la Ville de Lausanne. Par ailleurs, André Kuhn peut se prévaloir doublement de son titre de Dr. es crime, puisqu'il a eu l'occasion de participer à deux reprises à des Jeux Olympiques, à Séoul en 1988 et à Barcelone en 1992, en tant qu'épéiste.
Source : http://www.lhebe.ch/auteur.php?SID=&id_auteur=46
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Citations et extraits (2)
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On parle souvent d'un taux de récidive de 50% à la sortie de prison, sans toutefois préciser ce que cela veut dire. Ce taux de 50% est obtenu en considérant comme récidiviste tout individu qui a commis une nouvelle infraction - quelle qu'elle soit et non pas nécessairement une infraction identique à celle qui lui a valu sa condamnation précédente - dans les cinq années qui suivent la fin de l'exécution de sa peine. De plus, on doit se demander si un taux de récidive de 50% est un taux d'échec de 50% ou un taux de réussite de 50%...
Quant à savoir si les normes pénales sont des normes physiques données ou si, au contraire, elles sont socialement produites, la plupart des criminologues sont d'avis que ce sont des constructions sociales, puisqu'elles peuvent varier d'un pays à l'autre, ainsi qu'au fil du temps. En d'autres termes, cela signifie que le crime en tant que tel n'existe pas! Il existe uniquement parce qu'il est défini comme tel par l'être humain. De même, c'est parce que certains comportements se sont vus attribuer l'étiquette "crime" qu'ils sont devenus interdits.
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