Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Racine, Wisconsin , le 14/06/1913
Mort(e) à : Sparks, Nevada , le 07/11/1989
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Né(e) à : Racine, Wisconsin , le 14/06/1913
Mort(e) à : Sparks, Nevada , le 07/11/1989
Biographie :
Milton K. Ozaki est écrivain américain de roman policier. Il écrit sous son nom et sous le pseudonyme de Robert O. Saber.
Né d’un père japonais et d’une mère américaine, Milton K Ozaki est, successivement, journaliste à Chicago, artiste, avocat fiscaliste et exploitant d’un salon de beauté.
Il se tourne vers l'écriture après la Seconde Guerre mondiale. Il est considéré comme l'un des premiers écrivains américains de littérature policière d'origine japonaise. Sous son nom, il écrit dix romans et quinze sous son pseudonyme.
Il crée plusieurs personnages tous détective privé ou lieutenant de police, Carl Good, Max Keene, Robert Fury… Fait étonnant, dans la traduction française, Carl Good devient Carl Lebon !
Milton K. Ozaki est écrivain américain de roman policier. Il écrit sous son nom et sous le pseudonyme de Robert O. Saber.
Né d’un père japonais et d’une mère américaine, Milton K Ozaki est, successivement, journaliste à Chicago, artiste, avocat fiscaliste et exploitant d’un salon de beauté.
Il se tourne vers l'écriture après la Seconde Guerre mondiale. Il est considéré comme l'un des premiers écrivains américains de littérature policière d'origine japonaise. Sous son nom, il écrit dix romans et quinze sous son pseudonyme.
Il crée plusieurs personnages tous détective privé ou lieutenant de police, Carl Good, Max Keene, Robert Fury… Fait étonnant, dans la traduction française, Carl Good devient Carl Lebon !
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Citations et extraits (4)
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Le professeur et moi sommes au coin e State Street et de Goethe Street, dans une maison de brique de quatre étages ; il y a ici un magnifique cadavre tout ce qu'il y a de plus récent, on ne peut plus mort, on ne peut plus sanglant. (p.16)
Phelan dégusta en connaisseur ce juteux morceau d'information. Toute ironie avec lui était inutile. Son imperturbable satisfaction de lui-même écartait l'ironie comme un parapluie écarte les gouttes de pluie. (p.20)
Les autres étudiants trouvaient que j'avais de la veine de travailler ainsi avec Caldwell et de vivre chez lui ; ils ne savaient pas, bien sûr, qu'il me fallait aussi servir de larbin à un chien. (p.12)
Ce ne sont pas les charmes de votre conversation, dit Caldwell rêveur, car elle se signale généralement par des insolences, des plaisanteries de mauvais goût et une grammaire déficiente. (p.116)
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